Gieco, un projet pour les acteurs qui veulent/peuvent changer le monde !

De multiples problèmes sociétaux affectent aujourd’hui notre développement, dont le plus emblématique, et sans doute le plus menaçant, est celui du réchauffement climatique [1]

Pour mieux anticiper le pourquoi et le comment d’une indispensable et massive adaptation/mutation industrielle, économique, politique mais aussi sociétale aux impacts des changements climatiques, le GIEC a été créé en 1988 à la demande du G7. Piloté par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), le GIEC n’est pas un organisme de recherche, mais un lieu d’expertise visant à synthétiser des travaux menés dans les laboratoires du monde entier.

Au fil des années et pour mieux remplir sa mission, le GIEC s’est doté de trois groupes de travail qui étudient respectivement :

  • Groupe 1 : Les principes physiques du changement climatique et de l’évolution du climat,
  • Groupe 2 : les impacts, la vulnérabilité des systèmes socio-économiques et naturels, les conséquences négatives et positives de ces changements climatiques et les possibilités de s’y adapter,
  • Groupe 3 : les solutions envisageables pour limiter les émissions de gaz à effet de serre ou atténuer les effets des changements climatiques (mitigation).

Que manque t'il au GIEC ?

Les connaissances sur le comportement humain, l’intégration de ces connaissances dans les modèles visant à limiter le changement climatique, et les solutions pour modifier ces comportements.

C'est le rôle du

GIECO

Groupe International d’Experts sur Climat et le Comportement humain

Modes de vie et comportements,

au cœur de la santé et la société durables !

Notre société perd-elle ses repères ?

Sous certains aspects, on peut penser que notre société contemporaine est au bord de l’implosion :Crise climatique et environnementale : sécheresse, perte de la biodiversité…

  • Épidémie d’obésité et de maladies dégénératives
  • Violence et incivilités, féminicides, haine sur Internet, menaces de mort
  • Crise des hôpitaux/urgences, déserts médicaux, ruptures de stocks de médicaments vitaux
  • Paupérisation des classes moyennes, désinsertions/exclusions sociales
  • Explosion démographique et migrations
  • Populismes en hausse, isolationnisme, replis identitaires
  • Crises géopolitiques, reprise de l’escalade militaire nucléaire entre les superpuissances
  • Paradis fiscaux, GAFAM incontrôlables, concurrences fiscales et sociales déloyales

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Et pourtant…

  • Les démocraties progressent, la pauvreté mondiale régresse
  • La violence au quotidien, rapportée à l’unité de population*, régresse
  • Les conditions de vie et de santé progressent
  • Les progrès scientifiques et technologiques sont souvent majeurs voire éblouissants
  • Internet donne un accès gratuit à l’information et la connaissance partout dans le monde
  • Les nouvelles énergies désenclavent aussi des régions isolées et déshéritées…

* Pinker S. (2017). La part d’ange en nous, Éditions : Les Arènes.

 

Le facteur humain, source des problèmes… et des solutions ?

Dans le monde rapide, complexe et incertain que nous avons créé, mieux comprendre et gérer notre propre fonctionnement devient assurément LA condition de tout développement et même sans doute à terme de notre survie !Certes, les connaissances sur le cerveau et les comportements ont considérablement progressé et suscitent un intérêt et un espoir croissants.Mais leur transcription dans la « vraie vie » reste très fragmentaire et marginale ! Sans doute est-ce là que le bât blesse, le déficit qu’il convient de combler au plus vite…?